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    Rover

    Rover (c) Laura Lassegue

      

    Garance, Paloma et Camille

     


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  • Quelques heures avant la remise des prix, Romain Sauvestre, membre des Technical Variant et de Silence In Universe, a accepté de nous rencontrer pour nous donner ses impressions et nous parler de ses deux projets.

    Le premier goupe dans lequel il a joué, Technical Variant, s'est créé en 2009 et a participé à sa première finale de l'HisséÔ en 2010. Or, au moment des séléctions de cette édition, le groupe hésite à y reparticiper. Romain monte alors un nouveau projet appelé Silence In Universe avec lequel il gagne les sélections de Valin. Les Technical Variant choisissent alors de faire les sélections à Fenelon et remportent leur ticket pour la finale. Pour ceux qui se seraient posé la question, voilà pourquoi durant cette soirée Romain est monté deux fois sur la scène de La Sirène !

    Chacun des deux groupes, dans lesquels il s'occupe du clavier, fait du métal progressif. Ils sont tous deux composés d'un bassiste, d'un guitariste, d'un batteur et d'un pianiste.

    On remarque que dans ces deux groupes il n'y a pas de chanteur car : "nous aimons bien les morceaux instrumentaux". Mais ce n'est pas tout à fait un choix car ils n'ont "pas trouvé quelqu'un capable de faire le travail correctement". Quoiqu'il en soit ce parti pris n'a pas eu l'air de déplaire au public de La Sirène qui a porté chacun des deux groupes de Romain durant la totalité de leurs prestations.

    Florian G.

     


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  • Flow a fait partie de la sélection de l'HisséÔ le 13 mai dernier à la Sirène, nous l'avons rencontré pour avoir ses impressions...

    Flow

    Flow (c) Anonyme

    In Ze Francos : Quand as-tu commencé à faire de la musique ?

    Flow : Cela va bientôt faire dix ans. J'ai commencé à gribouiller des petits bouts de textes vers l'âge de 9-10 ans. Mais je m'y suis mis sérieusement seulement depuis un an.

    In Ze Francos : Comment as tu rencontré tes musiciens ?

    Flow : Il sont très demandés et je leur ai fait un chèque (rires). Non je rigole, j'ai rencontré Geoffrey grâce à sa Web Radio, One Station. Le courant est très bien passé et quand il m'a dit qu'il était DJ, on a décidé de jouer ensemble pour la finale. Et le pianiste m'a été présenté après l'audition par l'animatrice culturelle. Donc nous nous sommes rencontrés, le feeling est bien passé et on s'est mis à jouer ensemble.

    In Ze Francos : Quelles sont vos influences musicales ?

    Flow : Alors je suis très ouvert, j'écoute des genres très variés, cela va de Jacques Brel à NTM !

    In Ze Francos : C'est ton premier concert sur une scène de cette envergure ?

    Flow : L'année dernière j'ai participé à la Créateuf d'Angoulême et au niveau de la configuration scénique et des moyens sonores c'était à peu près pareil. Mais j'ai quand même l'impression que La Sirène est une scène plus grande.

    In Ze Francos : Aux sélections, tu avais un côté plus Slam. Pourquoi as-tu changé de style pour ce concert ?

    Flow : En fait, la première fois, c'était seulement des auditions alors que ce soir, c'est le concert. Aux sélections j'ai montré ce que j'étais capable de produire et j'ai été sélectionné pour ça. Mais là, on a la chance d'avoir 30 minutes sur une grosse scène et donc j'ai choisi de faire un "show". Peut-être que certains s'attendaient à plus de morceaux mais le concert a été conçu avec ce côté festif, pour danser et faire la fête.

    In Ze Francos : Maintenant que tout le monde est passé, qui vois-tu en vainqueur ?

    Flow : Je ne suis pas prophète. Mais j'ai deux gros coups de coeur qui sont What's The Funk (NDLR : Lycée Dautet) et Romane B. (NDLR : Lycée St Exupéry). J'aime beaucoup Romane et j'espère vraiment avoir l'occasion de collaborer avec elle.

    Florian G.

     


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    Rencontre après une répétition de La Féline avec Yohan Bernard, le très sympathique ingénieur lumières du Chantier.

     

    Yohan Bernard

     (c) Anne Combes

     

    IZF : Qu'est-ce-qui vous a amené à ce métier ?

    Y.B. : Petit déjà, j'étais passionné par les lumières. Quand des amis organisaient des spectacles je m'occupais toujours de l'éclairage. C'est donc naturellement que j'ai choisi cette activité.    

    IZF :  Avez-vous eu d'autres métier avant ?

    Y.B. : J'exerce au Chantier des Francos depuis bientôt quatre ans mais j'ai toujours travaillé en tant qu'ingénieur lumières. Avant j'ai par exemple éclairé du théâtre et j'ai suivi une compagnie de danse hip-hop. Je continue d'ailleurs à faire des tournées avec eux.

    IZF : Comment mettez-vous les artistes en valeur ?

    Y.B. : Je discute d'abord avec eux pour savoir le genre d'ambiance qu'ils veulent créer avec leur musique et j'essaye de souligner leurs textes avec la lumière. 

    IZF : Est-ce-que certains artistes ont des demandes spéciales ?

    Y.B. : Oui, par exemple certains ne veulent pas certaines couleurs, pas de fumée, pas de noir entre les morceaux, d'autres au contraire ne veulent rien de particulier et me laissent carte blanche. 

    IZF : Qu'est-ce-qui vous plaît et vous déplaît dans votre métier ?

    Y.B. : J'aime travailler avec pleins de personnes différentes, être  en collaboration avec les artistes, voir l'évolution des morceaux et bien d'autres choses ! Par contre, c'est difficile de concilier la vie de famille avec les horaires et les tournées.

    IZF : Quelles sont vos préférences musicales ?

    Y.B. : J'écoute plein de choses différentes mais surtout de la Variété et du Rock.

    IZF : Et sur le Chantier, qu'est-ce qui vous a le plus séduit pour l'instant ?

    Y.B. : Je voudrais tous les citer mais ma préférence va à Twin Twin et à Lili Ster, avec qui je vais partir bientôt en tournée.

     

    Pierre-Louis et Clarisse

     

     


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    Thomas Lebras, vainqueur de l'édition précédente de l'HisséÔ, a accepté de nous rencontrer pour une interview en compagnie de son nouveau groupe, trois heures avant le début de son concert.

     

    Thomas Lebras

     (c) Aubin


    In Ze Francos : Nous connaissons six titres de toi. Comptes-tu en enregistrer de nouveaux prochainement ?

    Thomas : Si j'en ai l'opportunité, oui ! Et pourquoi pas à la Sirène.

    In Ze Francos : Comment se passe l'étape de composition ?

    Thomas : J'ai composé avec mon ancien batteur pendant à peu près deux ans. Nous faisions chacun à peu près la moitié du travail. Aujourd'hui, je compose tout seul.

    In Ze Francos : N'est-il pas trop imposant de jouer sur une scène comme celle-là (La Sirène) où sont passés des artistes comme Popa Chubby, Chinese Man ou The Legendary Tigerman ?

    Thomas : C'est clair que c'est une grande scène et qu'il y a du monde. Cela met beaucoup de pression, même si on est hors-concours.

    In Ze Francos : Depuis combien de temps joues-tu avec cette nouvelle formation ?

    Thomas: Je joue avec la bassiste (Emma) depuis déjà trois mois. Et cela va faire deux semaines avec le batteur (Jean).

    Jean: Deux semaines c'est vite dit, plutôt deux répétitions.

    In Ze Francos : As-tu pu profiter des lots de l'édition précédente avec ton groupe ?

    Thomas : Non pas vraiment car je ne savais pas vraiment quelles étaient les consignes. Donc j'ai fais les enregistrements tout seul. Mais je vais sûrement pouvoir jouer avec ma formation les première parties ou ce que l'on me propose, comme aujourd'hui par exemple.

    In Ze Francos : Qui vois-tu te succéder aujourd'hui?

    Thomas : (sans hésitations) Les What's The Funk? !

    In Ze Francos : Un dernier mot pour finir ?

    Thomas: Euh... Non... Cosmonaute !

    C'est pendant les délibérations du jury que Thomas, accompagné d'une bassiste et d'un batteur, a fait patienter le public avec un mélange de rock français et de pop anglaise, en attendant la décision finale.

     

    Florian G.

     


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